Belle surprise en plein milieu de Santiago !
Il y a quoi en plein milieu de Santiago ?
Un parc d’attractions ! En pleine ville, accessible en métro. Un peu comme à Montréal, sauf que là c’est un parc énorme ! Alors forcément, on y est allés. De la sortie du métro jusqu’à l’entrée du parc, on marche entre deux rangées de petits vendeurs de tout ce qui peut intéresser un groupe/famille/couple qui va dans un parc d’attractions : boissons, trucs à manger, casquettes, bidules qui font de la musique quand on les lance, jouets, pop-corn…
Le parc est assez dense, car il a fallu « tasser » tous les manèges dans un espace limité, n’oubliez pas qu’on est en plein centre ville, et que Santiago fait autour de 5 millions d’habitants. Comme c’est la capitale du Chili, et que la ville ne peut pas trop s’étendre parce qu’il y a les Andes tout autour, le terrain est cher !
Fantasilandia
Les attractions sont vraiment très sympa, les filles en profitent à fond (et moi aussi, non mais !!) sous une chaleur caniculaire, pourtant c’est l’automne mais la météo n’a pas du recevoir l’info !
On se paye une bonne tranche de rigolades et de frayeurs : c’est fait pour ça les manèges à sensations ! Ici, il n’y a quasiment que des Chiliens. On ne croise pas de touristes. L’entrée est à un prix raisonnable (pour nous) mais élevé (pour eux) : 15 000 Pesos chiliens, soit 20€ environ. Vu la qualité, la propreté et la sécurité du parc, c’est très honnête. Des consignes automatiques (gratuites) sont à disposition pour décourager les pickpockets. Tous les staffs avec lesquels nous avons eu affaire ont été très professionnels, souriants, désireux d’aider. La plupart parlaient anglais.
Depuis le haut des attractions, on voit toute la ville autour, avec les Andes juste derrière. Le spectacle est magistral.
En images ça donne quoi ?
Le métro de Santiago
Pour prendre le métro à Santiago, c’est un peu comme partout dans le monde : il faut acheter une carte, la recharger (top-up comme on dit partout) et c’est parti.
L’avantage ici c’est que comme on paye au trajet, une seule carte suffit pour tout le monde, à condition bien sûr de la biper autant de fois que de passagers.
Par contre, il faut la « finir » car pas de remboursement du solde à la fin. Objectif atteint, puisqu’on a abandonné la carte à la fin avec un crédit de 20 Pesos chiliens, c’est à dire… presque rien (~0,03€ si vous voulez tout savoir). La bonne chose à savoir : les automates de recharge ne rendent pas la monnaie et c’est au minimum 1000 Pesos, mais au guichet on peut donner la somme qu’on veut !
5 réflexions sur « Belle surprise en plein milieu de Santiago ! »
c’est pire que la fête à Champagnole
sauf les churros qui ne sont pas au Nutella mais qui sont au sucre !
ben ça a du crier ….!
dans la vidéo, les cris à la fin (dans le petit avion) c’est Chrystel !
😀
On reconnaît bien le son de une Chrystel en détresse !!
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